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 When the little bastards meet | SCAR
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Rage Ghliebnikov
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MessageSujet: When the little bastards meet | SCAR   When the little bastards meet | SCAR EmptySam 10 Sep - 4:28

       
When the little bastards meet

Duncan McCarthy & Scar Azarov

       
La nuit avait été particulièrement éprouvante. D'ailleurs, toutes celles où il travaillait l'étaient. Particulièrement quand son taf virait en règlement de compte, comme ça, en bordure de South Side. Duncan était en train de râcler les bas-fonds du quartier sud, à savoir faire cracher des billets à ceux qui n'en ont que peu en vendant leur corps. Aucun scrupule. Les putes, ça paye bien. Duncan, c'est tout ce qu'il retient. Après tout, son petit trafic qui se densifie de jour en jour, grâce au profit qu'il fait sur le dos de la terreur. Sa vente de drogue n'a jamais été aussi florissante que depuis qu'il passe par son job de livreur de courrier pour se faire. Et même dans le chaos qui règne sur la ville, il arrive à se faire du blé. Mais l'argent, c'est comme le sexe pour une nympho, il n'en a jamais assez. Et la drogue ça aide toujours, comme dit Duncan. En vendre, ça lui fait du fric et ceux qui en profitent peuvent tranquillement fuir ce qu'il haïssent. Gagnant gagnant.

Sauf que traîner de nuit n'était pas le meilleur plan du siècle en ce moment. Même en commençant à se faire un nom dans la lutte pro-DG, il ne pouvait décemment pas croire qu'il ne risquait rien en pointant le bout de son nez sous les réverbères de la ville. Les petites crapules qui se sentaient pousser des ailes à cause du jeu et qui veulent venger les victimes de la manifestation du 17 août n'attendent que de pouvoir répandre la violence et buter les représentants des forces de l'ordre. D'ailleurs, dans les sombres quartiers sud, les flics ne posaient même plus l'orteil et c'est exactement pourquoi il était venu faire ses petites affaires pour avoir toujours plus de fric.

Toutefois, Duncan aurait presque occulté ses ennemis qui s'étaient enfui de taule. C'est vrai, il n'avait pas assez à faire avec les gangs, faut que les taulards s'en prennent à lui, en plus. Il n'était pas le seul visé. Y'avait aussi ceux qu'il couvrait et qu'il logeait qui l'étaient. Des taulards qui l'ont aidé dans ses petites affaires en taule. En soi, les seuls pour qui Duncan ferait un truc pareil. Les seuls pour lesquels il acceptait de se faire poignarder. C'est laissé pour mort qu'il s'en sortit encore une fois. A moins que ce mec ne vise comme une tantouze parce qu'aucun organe n'avait été touché... Ou alors, c'était un avertissement. Il avait déjà reçu des menaces mais à force, il ne sait plus très pour quoi c'est exactement.

C'est en titubant qu'il se laissa enlacer par le manteau de la nuit et qu'il tenta de se sortir de cette nouvelle merde. Pendant un moment, il crut qu'il n'allait pas tarder à se transformer en pixels et à se réveiller devant son écran mais il dut se rappeler à l'ordre plusieurs fois. La douleur était si réelle dans le jeu qu'il n'arrivait plus à faire la différence entre ici et là-bas. Il se pourrait bien qu'il ait tué quelqu'un ici, d'ailleurs... In real life... Il ne savait même pas où il allait. Il avait beau connaître la ville, il ne reconnut absolument pas le bâtiment contre lequel il s'échoua, s'y adossant en maugréant sa douleur. La main contre la plaie perforante qu'il avait à l'abdomen, il cracha au sol pour évacuer le sang qui empoisonnait ses papilles. Ce n'est qu'après un moment qu'il se rendit compte qu'un gosse se trouvait là. Ses yeux se posèrent sur lui dans une expression de profonde fatigue enserrée par une douleur omniprésente qui malgré son intensité arrivait à être gérée. Il avait l'habitude mais en cet instant, sa seule chance se trouvait en face de lui, comme un espoir inespéré qu'il n'aurait jamais formulé de lui-même.

« Hé, gamin... »

Il ne savait pas du tout quelle attitude adopter devant ce gnome à la tête angélique. Il savait d'expérience que les gueules d'anges sont bien souvent les pires démons de cette putain de terre mais dans cet état, il ne saurait cerner son vis-à-vis et ainsi se tirer de sa situation difficile. Devait-il jouer la carte de la pitié en jouant le mec qui souffre le martyr ou plutôt jouer le mec altruiste qui veut protéger un pauvre et innocent morveux ? Arf... Il était vraiment trop à bout pour évaluer des probabilités. Tant pis... Ce gamin était sa seule chance.

« Tu d'vrais pas traîner dans l'coin en pleine nuit...  »
       
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Dernière édition par Duncan McCarthy le Jeu 22 Sep - 8:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: When the little bastards meet | SCAR   When the little bastards meet | SCAR EmptySam 10 Sep - 5:56
Ducan & Scar

       

Plongeais dans des réflexions, telles que le fonctionnement du corps humain, toutes ces particularités et sa capacité de régénération. Réfléchissant sur des calculs permettant de savoir quel point ferais perdre le plus de sang à un adversaire, la réalité se mélangeant un peu avec le virtuel dans mon cerveau. Je rêvassais, assis sur ma chaise à la bibliothèque de l'université. Les livres s'empilaient sur des étagères dans des rayons entiers, mais quelques-uns étaient ouverts devant moi, bien que je les fixe, plus rien n'arrive à rentrer pour le moment, pas que je ne les connaisse pas, non au contraire, je connais ces livres presque sur le bout des doigts, je recherche autre chose, un point que j'aurais manqué lors de mes dernières lectures. Il me manque un élément important pour une technique que j'aimerais expérimenter dans le jeu. Je retiens un bâillement, je sais qu'après avoir étudié toute cette après-midi, je ne suis plus bon pour ce genre de réflexion absurde. Je m'étire, j'entends les os de mon dos craqué, la position que j'ai tenue n'est pas des plus confortable, les chaises hautes en bois bien dure, on ruinés mon postérieur et cette table trop basse m'a fait me pencher sur mes lectures de façon trop accentuées.  Mes jambes sont engourdies pour le temps, je les pousse vers l'avant pour que le sang se remette a circulé correctement, je traîne encore un peu, bien que le lieu soit désert, je ne veux pas retourner dans cette ville si bruyante, je veux rester encore un peu dans ce silence qui m'entoure. Il me berce comme un nouveau-né m'apaise délicatement de toute l'agitation du quartier autour, sans pour autant me faire quitter ce monde dans lequel je ne suis pas à ma place. Je touche mon portable dans ma poche, comme pour me rappeler qu'il y a un endroit qui me sert quand j'ai un excès de sentiments en moi, un endroit qui ne m'oblige pas à sortir de mon appartement d'étudiant. Je cligne des yeux, sors la main de cette poche, ce n'est pas le moment, une bonne douche, un repas et je repartirais dans un autre monde.


Je referme les grandes portes de la bibliothèque derrière moi, soupir et ressert ma veste de cuire autour de moi comme pour me réchauffer et retrouver un cocon protecteur qui m'empêcherait de perdre le contrôle de moi-même. Pourtant, je n'ai pas peur de cela, non, j'ai plus peur des conséquences que cela pourrait engendrer, pas vis a vis de mon image, plus pars rapport à mon avenir. Je me mis en marche, sans vraiment regarder où j'allais, il ne me fallut que quelques pas pour distinguer une silhouette adossée à un mur. Un SDF ? Déchet de cette humanité, je pourrais le faire disparaître si facilement, une petite dose d'acide et je ferais disparaître les traces de sa vie, qui n'en est même pas une, comment peut-il prétendre vivre, alors qu'il ne fait que subir un sort qui ne leur correspond pas. Je me suis rapproché, mais à ma grande surprise, ce type, oui, car avec la carrure de la bestiole ce n'est carrément pas une femme, venait de cracher du sang sur le sol. Un animal apeuré, seul et voguant dans ces rues sombres, je pourrais le laisser là à son sort, car après tout, pourquoi devrais-je aider cet inconnu ? Rien ne m'y oblige…'fin il a fallu qu'il me voie, c'est avec un masque de compassion que je ne ressentais pas que je me suis mis à marcher plus franchement vers lui quand il m'a interpellé. Je ne voulais pas l'aider, mais le bon sens de cette communauté voulait que je me sois fait prendre dans ces phares et que si je fuyais et qu'il croise une autre personne qui l'aide à ma place, que l'on se recroise par malchance, il me reconnaîtra et tout le monde sera que je ne suis pas Scar le gentil petit garçon intello, il briserait un bout de ma carapace. J'ai senti comme de l'espoir dans sa voix, un sentiment de dégoût me remonte pour exprimer ce que je ressens vraiment face à cette situation. Je m'accroupis près de lui, il se tenait l'abdomen et à y regardais de plus près du sang coulait abondamment de cette partie.

« À vrai dire, vous avez plutôt de la chance que ce soit moi qui traîne dans le coin la nuit »

Malchance pour moi, chance pour ce type. Je pouvais le soigner et il pourrait vivre plus longtemps que s'il n'avait trouvé personne. Sans vraiment discuter, ni m'attendre à ce qu'il coopère, j'ai mis ma veste sur ses épaules, de façon à ce qu'il ne prenne pas froid, car le corps perd de sa chaleur quand il est blessé et j'ai pris son bras qui ne tenait pas sa plaie pour le passé sur mes épaules.

« Je ne suis pas encore médecin, mais je pourrais vous soigner si vous me laissiez vous conduire jusque chez-moi et chance pour vous ce n'est vraiment pas, alors jusque-là si vous pouviez ne pas tomber dans les pommes et surtout bien pressé sur votre plaie avec votre main, je, vous en serez reconnaissant. »

J'avais un certain sang froid, il est vrai qu'un adolescent de mon âge aurait paniqué et voulu le soigner sur place, sans le bouger pour ne pas aggraver sa blessure par exemple, mais pas moi. J'ai pris appui sur mes jambes et avec mon bras libre sur le mur pour nous remettre sur pied.

« On va faire la conversation, pour que vous restiez avec moi ok ? Déjà faisons simple, c'est quoi votre nom ? »  


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MessageSujet: Re: When the little bastards meet | SCAR   When the little bastards meet | SCAR EmptyMer 14 Sep - 6:26

       
When the little bastards meet

Duncan McCarthy & Scar Azarov

       
Il avait l'impression que sont corps calfeutrait lui-même toute douleur qui suintant par les pores de sa peau. C'était instinctif de cacher ce qu'il était réellement, à tel point que tout ce qu'il laissait filtrer, hormis sa colère, n'était que faux-semblant. Là, encore c'était instinctif et même si son cerveau était beaucoup trop concentré à contenir toute la souffrance qu'il ne voulait surtout pas laisser paraître, son état parlait évidemment de lui-même. Il se vidait de son sang comme une putain de théière en porcelaine pété. Il valsait tranquillement avec la faucheuse en lui balançant à la gueule qu'encore une fois il arrivera à être plus malin qu'elle mais il n'était pas stupide. Il n'avait pas l'avantage, c'coup-ci et alors, qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir foutre ? Regretter et jurer sur son lit de mort qu'il n'a pas voulu faire souffrir ces connards qui ont eu l'audace de rentrer dans sa vie ? Affirmer qu'il était amoureux fou de Suzanne et que c'est pour ça qu'il lui a fait si mal... Connerie ! Tout ce qu'il regrette, putain c'est de pas avoir acheter cette vieille bagnole qui lui avait tapé dans l’œil et qui coûtait outrageusement cher par rapport à sa ridicule paye de livreur. C'était exactement la raison pour laquelle, il n'en avait pas fait sa propriété. Son agent de probation lui file tellement le train qu'elle pourrait lui sentir le fion. C'est pas une blague. Cette nana, c'est la plaie des plaies. Il est obligé de rivaliser d'intelligence pour cacher ses petites histoires, encore heureux qu'il est plus intelligent parce qu'au jeu du chat et de la souris, cette gonzesse est plus collante qu'un scotch double-face collé au cul d'un homme-ours. Une vraie plaie.

Se mordant la lèvre à sang pour contenir le moindre gémissement, le moindre petit son qui pourrait franchir ses insolentes lèvres pâles, il ne réalisa pas immédiatement que le gosse s'était accroupi devant lui. Ce n'est que dans la brume pourpre qui avalait son cerveau qu'il se rendit compte, trop tard, que le gamin avec son sourire fade lui proposait de l'aider. Sans réellement le lui proposer d'ailleurs parce qu'il ne perdit pas de temps à s'accaparer son bras pour le glisser autour de ses épaules frêles. Il aurait aimé être surpris et ouvrir de grands yeux ronds mais dans la cuisante et déchirante souffrance de sa plaie béante, il ne parvint même pas à se sentir étonner. Dans les tréfonds de son âmes noircies par des années de déception et de rancœur tout ce qu'il arrivait à penser c'est "qu'est-ce que ce mioche trafique ?" Croire en la bonté et en la bienveillance est un luxe qu'il n'a jamais pu se permettre. Les vils serpents qui foulés sa vie et étrangler ses maigres espoirs en l'humanité ont bien fait leur travail. Il ne croit en rien ni en personne. Pas même en lui-même. L'outrecuidance de son esprit vénal et fallacieux ne trouve d'existence qu'en cela. Sa misanthropie est ce qui le maintient en vie depuis tant d'année.

Et aujourd'hui, il en était à se laisser emmitoufler dans la veste d'un gamin qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam mais qui ne lui aurait pas plus inspiré confiance qu'un serpent. Il lui proposait de le soigner sans avancer ses idées davantage et s'il avait été assez en forme pour penser correctement, il l'aurait rejeté avec violence et lui aurait probablement tiré une balle entre les deux yeux. Au lieu de quoi, il l'aida à le relever en poussant sur ses jambes et en poussant malgré lui, un grognement de douleur. Il évita de trop s'appuyer sur le gosse parce que même en ne sachant pas à quel jeu il jouait, il ne voulait pas avoir besoin de cet inconnu. Surtout pas. Et d'ailleurs, il savait très bien comment rester conscient. Il n'avait besoin de personne pour rien du tout. Il mit un long moment avant de daigner répondre à sa question. Comment il s'appelait, sans blague ?

« J'm'apelle Ta-Gueule. »

Oh, il était méchant avec son petit sauveur d'angelot qui était tombé dans le creux de ses bras mais merde, il devait cacher quelque chose de pas nette pour aider un inconnu, celui-là. Qu'elle que soit sa motivation, il la sentait pas trop celle-là. Mais il avait pas le choix. Oh ce genre d'occasion s'est déjà présenté à lui à quelques reprises. Pas forcément pour les mêmes besoins mais les règles restaient les mêmes. Alors il fallait bien qu'il ajoute quelque chose. Parce que dans ce monde d'aveugles et de putains d'égoïste, c'est oeil pour oeil dent pour dent. Autant qu'il mette les choses au clair. Il ne lui serait pas redevable.

« J'ai une gueule de grand-mère sur son lit de mort qui a besoin de baver ses derniers regrets ?! J'ai pas besoin de causer pour rester conscient... J'ai vu pire alors contente-toi de me soigner et je m'arrangerai pour faire quelque chose pour toi... Je parie qu'un gamin comme toi, ça a toujours besoin de quelque chose. Du fric... Des petits coups de pouce pour rester éveiller... Du cul... Des putes... Je peux t'fournir un tas de trucs... »
       
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Dernière édition par Duncan McCarthy le Jeu 22 Sep - 8:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: When the little bastards meet | SCAR   When the little bastards meet | SCAR EmptyMer 21 Sep - 17:39
Ducan & Scar

       

Très bien, la politesse c'est pas son fort donc … Non, mais je vous jure je me demande encore pourquoi je fais ça moi … Je devrais le laisser crevé sur le bas coté du chemin et pourquoi pas le maltraiter un peu plus pour m'avoir fait perdre mon temps. Aucune gratitude c'est l'humanité de nos jours on fait l'effort de prendre un temps pour regarder autour et ne plus être si individualiste et voici ce que l'on récolte des brutes impolis. Je jugeais se pauvre type et je ne m'en priverais pas, j'ai serré les dents pour garder toute ma politesse.

« Joli prénom »

Dis-je avec ironie. Après tout, il veux rester anonyme, je n'aurais donc qu'a le jeter du haut d'un pont et si jamais on me ressort son prénom pour savoir si je l'ai tuer, je ne mentirais pas, vu que je ne le connais pas, enfin la je pars un peu loin, qui pourrait s’intéresser à une telle carcasse à part des charognards. Je prend une grande inspiration sans le lâcher alors que j'écoute se qu'il a finalement à me dire.

« Franchement, oui tu as une tronche de mort vivant alors ne t'enflamme pas trop vite »

Pas besoins de causer ? Mais c'est exactement se que tu es entrain de faire idiot, ne mais je vous jure parfois je me demande se qui se passe dans le cerveau de certain, il veut pas parle, mais il est entrain de me sortir un grand discours. Que je me contente de le soigner pour quelque chose en retour ? Qu'es ce qu'un pauvre type comme lui peux bien m'offrir que je n'ai pas déjà, mise à part sa mort pour que je sois enfin en paix, je ne vois pas.

« En faite j'aurais mieux fait de te dire de te taire pour ne pas entendre des conneries pareils … Vraiment, ça te trouerait le cul que je fasse cela par simple gentillesse ? Étrangement, je n'attend rien de toi sauf que tu guérisse et retourne à tes activités quelque peu douteuses si je puis émettre mon avis. »

Je prend à gauche il met de plus en plus de poids sur moi, c'est que même pour un gas qui fou rien de sa vie il a de la carrure … Heureusement j'aperçois ma maison à quelques pas. Le sport que je fais me sert parfois même dans la vrai vie, j'en suis moi même étonner, car on pourrait croire que je ne peux pas le porter alors que c'est pas si difficile pour moi, bon c'est pas simple non plus, faut qu'il arrête les pâtisseries. J'ouvre ma porte et pose sans aucune délicatesse le mec sur mon canapé.

« Compter les moutons je vais chercher de quoi arranger votre état, malheureusement je n'ai plus de cerveau pour vous rendre intelligent vous m'en voyez désoler, vous resterez idiot »

Oui, je ne l'aime pas, faut dire que je n'aime personne. Je suis chez moi je dis ce que je veux, puis des fois il ne s'en rappellera même pas à son réveil. Je l'abandonne dans le salon et prend de quoi le réparé correctement. Je lui prépare une petite seringue de morphine, comme ça j'aurais la paix pour faire se que j'ai à faire. Je reviens avec mon matériel.

« Je vais vous faire une piqûre, avant vous avez des allergies a des produits ? Je ne voudrais pas vous tuer accidentellement. »

Je fais une petite moue d'innocent, bien que sa me ferais plaisir d'enlever un déchet de la société de plus de se monde, quoi que il a un beau corps a y regarder de plus prêt … Mais a quoi je pense moi.


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MessageSujet: Re: When the little bastards meet | SCAR   When the little bastards meet | SCAR EmptyJeu 22 Sep - 8:27

       
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Duncan McCarthy & Scar Azarov

       
Il leva les yeux au ciel en entendant son commentaire sur son "prénom". Quoiqu'en fait, ça aurait presque pu l'amuser s'il n'était pas à demi-mort sur le trottoir et qu'il ne se faisait pas aider par un gamin louche qui cache forcément quelque chose et qui en plus poignardait son égo en plein coeur. Ouais, y'avait que son égo pour en avoir. Un coeur qui ne battait que pour lui-même. Le sien avait rendu l'âme à la naissance, il avait dû le filer au grand cornu quand il s'est mis à caresser son âme pour entendre ses premiers cris. C'est là qu'il aurait dû viser ce connard de taulard. Il aurait rien touché, au moins et il s'en porterait sûrement bien. Enfin, il avait pas à se plaindre, il imagine. Il aurait pu se vider et plus vite que ça s'il avait eu un plus fin doigté. C'est pas facile de viser dans l'obscurité, on dirait.

Il entend lointainement le gamin qui se fout de sa gueule et il se dit qu'il y en a une à qui ça plairait bien, ce genre de truc, vu tout le venin qu'elle lui bave sur le dos. Pff pétasse. Il ne répondit pas à ce qu'il pouvait bien cracher, le gamin, tout simplement parce qu'il ne comprenait pas grand chose à ce qu'il racontait. Il saisit néanmoins lorsqu'il parla de lui trouer le cul. Enfin, il comprit qu'il était en train de lui demander, bien impoliment, d'ailleurs - ce qui était déjà nettement moins louche - si c'était si incroyable qu'il l'aide par pure bonté d'âme. ET PUTAIN ! Ouais... c'était beaucoup trop bizarre, cette affaire pour que ce soit réellement vrai. Il n'en croyait pas un mot ! C'est d'ailleurs incrédule qu'il le suivit en maugréant :

« J'ai déjà l'cul troué mais... Sans déconner... Ouais ! Ça m'ferait un beau deuxième trou si tu faisais ça par gentillesse... On m'la fait pas à moi. »

Ses paupières étaient trop lourdes pour qu'il prête attention au chemin qu'ils empruntaient. Il était bien trop occupé à se concentrer sur sa méfiance et le fait de ne pas tomber dans les pommes comme lui a si gentiment demandé son petit ange à gueule innocente.

Ce n'est que lorsqu'il se fit balancer comme un mal-propre sur une surface moelleuse, qu'il réalisa que les bruits de la ville étaient devenu sourd. Encore une chance que le gamin n'habite pas loin. De nuit, dans cette foutue ville qui lui donnait l'impression de toujours plus se rapprocher des portes de l'enfer, il avait l'impression que tout et n'importe quoi pourrait arriver. Pas qu'il ait les jetons. Il donnerait son taf à faire aux petits cons qui bossent pour lui, sinon. Mais c'était quand même risqué dans son état. Il capta vaguement que le gosse se foutait de son intellect et il avait bien envie de lui répondre que puisqu'il était aussi con, ses moutons il pouvait se les carrer dans le fion mais c'était vraiment pas bon. La pièce tournait autour de lui et la douleur était si intense qu'elle dévorait ses bonnes vannes pour n'en faire qu'une bouchée.

Quand le gosse revint, il était en nage et il avait la tête contre le dossier du canapé. Même plus fichu de se demander ce qu'il allait devoir lui donner en échange de ces soins clandestins. Il se contenta de secouer la tête quand il lui demanda s'il souffrait de quelconque allergies. Il fronce quand même les sourcils. "Je ne voudrais pas vous tuer accidentellement", ouais c'est ça ! Peut-être qu'il était pourri jusqu'à l'os et que le jeu ne l'arrangeait pas mais... Il savait reconnaître un fumier quand il en croisait un. L'hypocrisie, ça pue la merde, et chez ce gamin, ça sent le fumier.

Il ouvre les yeux juste à temps pour voir l'aiguille se planter dans sa peau. Quand c'est dans la sienne, bizarrement, il apprécie pas trop ! Il se contenta de serrer les dents et concentra son attention sur le gamin. Oh il aurait adoré sa petite gueule d'ange, surtout dans le jeu... Il en aurait abusé. Il avait l'air si pur... C'est justement ce qu'il adorait tacher et souiller. Et... oh putain, la morfine, ça calme vachement vite!

« T'as trop une gueule d'ange pour que ce soit honnête, le môme. Et j'suis pas assez con pour pas voir ce qui s'cache dans tes yeux de morveux. »

       
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